Comment FONCTIONNE le corps HUMAIN ?? (et au fait qu'est-ce qu'un vaccin à a faire dans mon corps ??)

Autrement dis, comment JE fonctionne, comment TU fonctionnes. Pour toute personne un minimum "debout & consciente" la réponse à ce type de question à la valeur d'un "grâal". Or.... il existe des réponses particulièrement pertinentes, mais elles ne font pas surface et ne trouveront pas de relai dans les mass média. (si vous en voulez en comprendre la raison de nombreux livres expliquent les réseaux d'influences et de d'intérêts partagés entre banques internationales / multinationales pharmaceutiques / appartenance des média, en particulier "la mafia médicale" de Mme Lanctôt et "dictature médico-scientifique" de Mme Simon, mais.... ce ne pas le sujet sur ce post)

L'information donc est disponible pour qui désire chercher et... là voilà ! Ci-dessous donc, un texte, que je qualifie d'exceptionnel, de Mme Bouquet : Dr ès Sciences, Biologie, Endocrinologie, Biophysique, Physiologie, Immunologie, (...), Chercheur honoraire au CNRS.

le texte est issue du site de Me Bordas :
http://web.mac.com/ninpoikkan/iWeb/57D0BB37-7545-4DD1-B505-AB2E8F90DF7B/Vaccination.html)

et plus d'informations le site de Mme Bouquet : http://www.arsitra.org/

et maintenant.... les infos, les infos, les infos !!!!

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La vaccination
LA VACCINATION PAR JACQUELINE BOUSQUET

L'acte vaccinal constitue l'exemple même d'une approche aberrante et anti-scientifique de la prévention de la maladie pour les générations futures.
Le vivant n'étant qu'une densification de champ, il est illusoire et dangereux de vouloir agir sur la matière. L'approche de la biologie actuelle est totalement inadéquate, les conséquences en matière de santé publique sont dramatiques.
Décider de l'éradication et de la destruction aveugle de tout microbe, bactérie, virus revient à anéantir la vie elle-même…
La notion de terrain, bien que capitale et partiellement reconnue n'est jamais prise en compte pour l'étude et la connaissance globale du vivant.
L'immunologie - science encore récente - reste hélas un vrai mystère pour la plupart des biologistes qui ne considèrent que la matière (molécules et autres composés biochimiques) et négligent complètement les champs informationnels qui pilotent ces mêmes molécules via le cerveau !
Cette seule approche réductionniste, qui ne tient pas compte de la globalité de l'être condamne à terme la survie de l'humanité (et de toute forme de vie). C'est ainsi que nous avons aujourd'hui une recrudescence de maladies " disparues " et une augmentation impressionnante de certaines pathologies (voir annexe jointe).
Les applications de la physique quantique à la biologie induisent l'effondrement des concepts matérialistes et leur façon inadéquate d'aborder la maladie.
Aujourd'hui nous sommes à même de dire que :
· la maladie est une chute du taux vibratoire d'un groupe de cellules ou d'un organe. Elle implique un changement de forme (d'après la loi de la physique) et donc la libération d'organites cellulaires précédemment maintenus en cohérence, une sorte de chaos dont on commence seulement à entrevoir la signification.
· Les microbes et autres virus dits " agresseurs " ne sont en réalité que les constituants endogènes de la cellule ayant repris leur autonomie.
La vision pasteurienne qui en a fait des " assaillants extérieurs " est absolument anti-scientifique et n'a jamais été démontrée.
Vouloir faire réagir le Système Immunitaire contre ses propres constituants, lesquels ne sont identiques que par leur formule chimique et non par l'essentiel - la stéréochimie - est une insulte au bon sens que seuls les scientifiques pluridisciplinaires sont à même de percevoir.
Ces microbes ou virus endogènes ne sont évidemment pas immunogènes, on sait bien que l'expérience de Pasteur n'a jamais pu être reproduite sans la présence de l'adjuvant de Freund (puissant oxydant qui transforme le pH donc le terrain du receveur). Il est évident que, dans ces conditions, s'il y a abaissement des vibrations de l'organisme, on ne verra pas l'apparition du virus ou microbe incriminé dépendant du pH. Et l'on prétendra avoir éradiqué la maladie
Antoine BECHAMP, TISSOT et divers autres scientifiques de l'époque en ont fait la démonstration indéniable en faisant apparaître successivement dans une culture in vitro les différents microbes connus, simplement en changeant la composition du milieu de culture… C.Q.F.D. ! Leurs travaux doivent impérativement être réhabilités et pris en compte. Nous pourrons alors revenir au bon sens et à un art médical respectueux de son serment : primum non nocere…
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On reconnaîtra enfin que la prétendue activité des vaccins n'est qu'un artefact de changement de terrain, donc de vibration due à l'adjuvant de Freund, preuve que l'agresseur étranger n'est pas antigénique et pour cause !
Faut-il le redire ?
· ces antigènes ne sont que les constituants normaux de la cellule et leur polymorphisme ou prétendue mutation est due aux différents taux vibratoires des terrains pollués par les stresses de la vie !
Il ne peut y avoir de " protection vaccinale " puisque, lorsqu'un virus se manifeste, ce ne sera pas celui avec lequel on a vacciné !
L'exemple même en est le BCG antigène animal alors que le bacille de la tuberculose a depuis longtemps muté provoquant une maladie aujourd'hui inguérissable tant le bacille est diff érent. Et ce vaccin complètement dépassé n'ayant d'ailleurs jamais fait ses preuves est obligatoire seulement en France !
La vaccination est l'héritage d'une science égarée dans le matérialisme, la spécialisation et le mercantilisme. Nous considérons qu'il s'agit aujourd'hui de " non-assistance à personne en danger " que de se faire complice de telles pratiques alors que nous savons avec certitude l'imposture scientifique et la folie aux conséquences incalculables que représentent les vaccinations de masse :
· dégradation et dégénérescence de la santé humaine et animale,
· hypothèque des générations futures,

Elles constituent un acte anti-physiologique par excellence. Nous savons depuis longtemps que le système immunitaire d'un enfant est immature avant l'âge de 7 ans, qu'il bénéficie de l'immunité de sa mère durant la première période de sa vie. Ainsi, les enfants nés de mère séropositive le sont aussi à la naissance et deviennent par la suite spontanément séronégatifs.
Il est très courant de constater que, le système immunitaire abusivement sollicité se retourne contre lui-même, chez les patients qui ne sont pas en pleine forme au moment de l'agression vaccinale, ce qui est fréquent...
Le SYNDROME D'IMMUNO DEFICIENCE ACQUISE (SIDA) en est l'un des exemple : il s'agit de l'effondrement des défenses immunitaires des organismes les plus fragilisés et non d'un certain virus HIV jamais isolé.
Décider de l'éradication et de la destruction aveugle de tout microbe, bactérie, virus revient à anéantir la vie elle-même…
Nous savons maintenant que chaque individu a ses propres hormones, albumine, sang ou urine, de même que nous sont personnels les traits de notre visage et nos empreintes digitales ! Aucun traitement médical ne devrait donc jamais être prescrit sans que le type de remède, sa quantité et sa durée n'ait été individuellement testés au préalable. Les analyses médicales, outre l'agression qu'elles représentent souvent sont une grande source d'erreur.
Toute greffe, toute transfusion sanguine, est un viol de notre personnalité par le champ morphique accompagnant l'organe. Ce dernier est porteur du contenu psychique du donneur car ces champs sont des hologrammes. Il en est de même pour tout acte vaccinal ou injection qui ne passe pas par les barrières naturelles d'intégration telles que la peau, les muqueuses, etc.
La difficulté d'information majeure rencontrée par les scientifiques et médecins indépendants est due au fait que la santé publique est devenue un commerce, que les experts sont légalement juge et partie et les lobbies pharmaceutiques supports de tous les partis politiques…
Les nombreuses prises de positions contre les vaccinations et les manipulations génétiques - par le biais de publications accessibles au public et repris par certains médias - permettent enfin l'accès à la vérité d'un nombre croissant de citoyens.
Ajoutons que le paysan, autrefois garant d'une solide santé, devenu " exploitant agricole ", doit aujourd'hui revêtir un scaphandre digne de la guerre bactériologique pour traiter sa terre, ses plants et ses récoltes.
Les malheureux contrevenants aux strictes règles de sécurité sont atteints de toutes sortes de maux : leucémies, problèmes oculaires, cutanés ou respiratoires, allergies, cancers, etc., toutes les couches de la population sont donc atteintes dans leur vitalité la plus élémentaire par la chimie et des actes médicaux et vaccinaux de plus en plus toxiques.
Prétendre que la vaccination est une technique de prévention constitue pour de nombreux chercheurs la plus grande erreur médicale du siècle. Ce qui précède démontre largement que cette pratique est totalement inutile et surtout iatrogène… Et le " génie génétique " sous toutes ses formes s'avère l'un des pires dangers pour notre survie !
La véritable PREVENTION passe par la connaissance de soi, le développement personnel, la gestion de nos stresses et de notre psychisme (sentiments et émotions) et par là même l'accès à nos niveaux supérieurs de conscience.
Les fabuleuses découvertes à venir d'une humanité plus consciente, plus spirituelle, est basée sur la reconnaissance de ces champs informationnels.
La compréhension de la vie, la compassion envers nos semblables (plantes et animaux inclus), le respect de notre environnement, de la qualité de notre nourriture - qui implique de refuser de manger n'importe - quoi feront plus pour le maintient de la santé que toutes les médecines du monde.

J. BOUSQUET
Dr ès Sciences, Chercheur honoraire au C.N.R.S.
Biologie, Biophysique,
Conférencière, écrivain
Auteur de 2 ouvrages : Science dans la Lumière & Au cœur du Vivant



ANNEXE
La lettre de PRO-ANIMA

" Les études statistiques (extraits des enquêtes annuelles CREDES/CNAM) de santé publique en France entre 1970 et 1990 montrent que l'ensemble de la morbidité a quasi doublé, avec des progressions spectaculaires des maladies endocriniennes (+ 960%), des maladies mentales (+ 210%) et des tumeurs (+ 350%),
Pour le cancer précisément, le rapport n° 93158 de l'IGAS nous apprend qu'entre 1970 et 1990, le nombre annuel de décès par cancer est passé de 46 000 à près de 54 000 chez les femmes (cancer du sein de 7 000 à 10 000, des ovaires de 1 600 à 3 100), de 59 000 à 84 000 chez les hommes (cancer des poumons de 9 000 à 19 000). Durant cette période, le cancer est devenu la première cause de mortalité (35%) des Français dans la force de l'âge (35-65 ans), loin devant les maladies cardio-vasculaires (21%).
Ces tendances lourdes, concernant des pathologies chroniques sévères, traduisent des défaillances croissantes des dispositifs censés assurer la sécurité sanitaire publique. Puisque l'évaluation la plus complète et la plus contrôlée des risques sanitaires est celle des médicaments, nous avons consulté les données de pharmacovigilance centralisées au Ministère de la Santé. Il apparaît que les effets secondaires des médicaments sont responsables par an de plus d'un million d'hospitalisations et de près de 20 000 décès. Ce sont donc bien des défaillances et des insuffisances dans les évaluations actuelles des risques sanitaires qui sont à l'origine de ces dérives. Or ces évaluations ont pour point commun de recourir systématiquement à des espèces animales, prises comme " modèles" censées mimer nos activités et réactions biologiques.
Claude REISS
Président du Comité Scientifique de PRO-ANIMA