Croire que ce que l’on voit est la réalité est la pire malédiction qui puisse frapper un être humain !
Croire qu’il n’existe qu’un monde, celui dans lequel nos parents nous ont obligés à entrer, le monde des adultes stressés, le monde de la lutte permanente pour survivre, de la compétition et de la consommation de biens matériels comme unique source de satisfaction, quel malheur, quelle catastrophe !
Petit enfant de deux ou trois ans, nous vivions encore dans la joie de découvrir le monde en jouant sans cesse, mais l'école est arrivée, les heures dures, à rester assis immobiles, à ne plus faire bouger notre corps mais seulement les neurones de notre cerveau gauche, quelle tragédie !
Peu à peu nous avons renoncé à vivre joyeux pour entrer dans le moule du sérieux, du « comme il faut », du plaire à autrui plutôt qu'à soi même. Et nous nous sommes perdus dans le labyrinthe des pensées perverties par le matérialisme ambiant, cette « religion non officielle » qui est la croyance de la majorité des êtres soumis au pouvoir des religions en place, ces structures dogmatiques qui on perdu leur essence spirituelle et sont devenues des « morales à suivre » des rails, des normes pour maintenir ceux qui ont perdu leur guidance intérieure dans la soumission et l’obéissance à autrui.
La vision holistique affirme que nous avons un corps matériel, certes, mais aussi un corps émotionnel, un corps mental et un corps spirituel. Nous sommes avant tout cet être spirituel, ce Christ glorieux qui vit en unité avec son Père Céleste et sa Mère Terrestre. Nous sommes magnifiques, éternels et immortels mais nos parents, nos prêtres et nos professeurs ont réussi à nous faire croire que nous n’étions que des « pauvres pécheurs incapables par nous-mêmes de faire le bien »
Un des tours de passe-passe les plus diaboliques que l’Eglise a réussi à nous faire avaler s’appelle le « péché originel ». Nulle trace de cette idée dans les Evangiles. Ce n’est qu’après quelques siècles de catholicisme que des religieux retords ont concocté cette notion qui rend le nouveau-né, avant d’avoir fait quoi que ce soit de mal, déjà coupable, déjà condamné à porter le péché de l’humanité sur ses épaules. Subtile malédiction à laquelle personne n’a le droit d’échapper puisqu’il naît en étant un être humain.
Toutes les autorités se sont liguées pour persuader l’enfant qu’il est fondamentalement mauvais et que le seul moyen d’échapper à la honte et à la culpabilité est d’obéir sans rechigner à ceux qui disent vouloir son bien et savoir mieux que lui ce qui va le rendre heureux. C’est ainsi qu’entre l’âge de quatre ans et celui de douze ans l’enfant cesse peu à peu d’écouter la guidance de son corps de lumière pour se soumettre aux croyances des adultes qui l’entourent et le convainquent peu à peu que la vie est dure, que la compétition est inévitable, qu’il faut être le plus fort pour écraser les autres et que la vie n’est que souffrance, efforts et misères de toutes sortes…
Triste époque que celle du matérialisme dominant… que de maladies et de détresses inutiles, infondées, aberrantes !
Il est urgent de nous délivrer de ces croyances mortes, insensées, créées de toutes pièces par des intellects pervertis, déboussolés, prisonniers d’une soif de pouvoir despotique effrénée qui les rend plus cruels et plus inhumains que les dictateurs les plus effroyables du passé !
Nous devons sortir des griffes de l’illusion matérialiste et des peurs qu’elle engendre pour rédécouvrir qui nous sommes et vivre dans la conscience, la clarté et l’amour. La physique moderne a fait voler en éclat les mythes du matérialisme : pour elle nous ne sommes pas des êtres de matière mais des êtres d’énergie et ce sont nos pensées qui créent notre réalité. La physique quantique parle de « champs d’énergie » auxquels nous nous relions par notre conscience. A nous de choisir des champs positifs et joyeux plutôt que les champs lourds et sombres du passé !
Mettons le matérialisme au musée et ne laissons plus ses dogmes polluer nos vies. Mettons les autorités de toutes sortes de côté et reprenons nos vies en main en osant penser par nous-mêmes et en écoutant la voix de notre corps de lumière qui nous guide vers le bonheur et la joie de vivre ! (par Christian Tal Schaller)
Petit enfant de deux ou trois ans, nous vivions encore dans la joie de découvrir le monde en jouant sans cesse, mais l'école est arrivée, les heures dures, à rester assis immobiles, à ne plus faire bouger notre corps mais seulement les neurones de notre cerveau gauche, quelle tragédie !
Peu à peu nous avons renoncé à vivre joyeux pour entrer dans le moule du sérieux, du « comme il faut », du plaire à autrui plutôt qu'à soi même. Et nous nous sommes perdus dans le labyrinthe des pensées perverties par le matérialisme ambiant, cette « religion non officielle » qui est la croyance de la majorité des êtres soumis au pouvoir des religions en place, ces structures dogmatiques qui on perdu leur essence spirituelle et sont devenues des « morales à suivre » des rails, des normes pour maintenir ceux qui ont perdu leur guidance intérieure dans la soumission et l’obéissance à autrui.
La vision holistique affirme que nous avons un corps matériel, certes, mais aussi un corps émotionnel, un corps mental et un corps spirituel. Nous sommes avant tout cet être spirituel, ce Christ glorieux qui vit en unité avec son Père Céleste et sa Mère Terrestre. Nous sommes magnifiques, éternels et immortels mais nos parents, nos prêtres et nos professeurs ont réussi à nous faire croire que nous n’étions que des « pauvres pécheurs incapables par nous-mêmes de faire le bien »
Un des tours de passe-passe les plus diaboliques que l’Eglise a réussi à nous faire avaler s’appelle le « péché originel ». Nulle trace de cette idée dans les Evangiles. Ce n’est qu’après quelques siècles de catholicisme que des religieux retords ont concocté cette notion qui rend le nouveau-né, avant d’avoir fait quoi que ce soit de mal, déjà coupable, déjà condamné à porter le péché de l’humanité sur ses épaules. Subtile malédiction à laquelle personne n’a le droit d’échapper puisqu’il naît en étant un être humain.
Toutes les autorités se sont liguées pour persuader l’enfant qu’il est fondamentalement mauvais et que le seul moyen d’échapper à la honte et à la culpabilité est d’obéir sans rechigner à ceux qui disent vouloir son bien et savoir mieux que lui ce qui va le rendre heureux. C’est ainsi qu’entre l’âge de quatre ans et celui de douze ans l’enfant cesse peu à peu d’écouter la guidance de son corps de lumière pour se soumettre aux croyances des adultes qui l’entourent et le convainquent peu à peu que la vie est dure, que la compétition est inévitable, qu’il faut être le plus fort pour écraser les autres et que la vie n’est que souffrance, efforts et misères de toutes sortes…
Triste époque que celle du matérialisme dominant… que de maladies et de détresses inutiles, infondées, aberrantes !
Il est urgent de nous délivrer de ces croyances mortes, insensées, créées de toutes pièces par des intellects pervertis, déboussolés, prisonniers d’une soif de pouvoir despotique effrénée qui les rend plus cruels et plus inhumains que les dictateurs les plus effroyables du passé !
Nous devons sortir des griffes de l’illusion matérialiste et des peurs qu’elle engendre pour rédécouvrir qui nous sommes et vivre dans la conscience, la clarté et l’amour. La physique moderne a fait voler en éclat les mythes du matérialisme : pour elle nous ne sommes pas des êtres de matière mais des êtres d’énergie et ce sont nos pensées qui créent notre réalité. La physique quantique parle de « champs d’énergie » auxquels nous nous relions par notre conscience. A nous de choisir des champs positifs et joyeux plutôt que les champs lourds et sombres du passé !
Mettons le matérialisme au musée et ne laissons plus ses dogmes polluer nos vies. Mettons les autorités de toutes sortes de côté et reprenons nos vies en main en osant penser par nous-mêmes et en écoutant la voix de notre corps de lumière qui nous guide vers le bonheur et la joie de vivre ! (par Christian Tal Schaller)
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