Un petit mot sur la PEUR et la... LIBERTÉ

Je passe du temps sur internet, facebook et j'observe l'air de temps, les signes des temps. Les commentaires (doux, violents, naïfs, drôles, colériques, ...). Cet exercice me donne une vue assez large afin d'apprécier les changements, avancés dans la conscience collective. Mes "amis"sont d'horizons variés, de milieux très différents, de goûts, d'avis, d'origines très différentes et je pense ainsi avoir une représentation assez "fidèle" de la diversité du monde. Aussi j'aborde beaucoup de sujet clef et sensibles sur l'évolution de nos sociétés et de notre rapport au nous et au monde. Suivant les thèmes le retour est enthousiaste, légèrement ou franchement hostile ou le plus souvent carrément passer sous silence.

Ici un petit mot sur la prise de conscience des citoyens sur le fonctionnement du système financier et le pouvoir bancaire. Je vois des pages, des post qui relève la prise de conscience visible sur l'image ci-dessous et qui invite, exhorte, à se libérer des banques.

Un petit mot donc sur... la PEUR. De mon point de vue il est primordial de comprendre que si l'état d'esprit qui anime un être est lié à "sécurité, assurance venant de l'extérieur" alors vous êtes esclave à jamais, des banques, des autres, cf la photo de cette page. C'est avant tout un regard sur soi, sur le monde, sur le sens de notre existence et le rapport entre ces 3 éléments (à unifier par ailleurs) que le travail est à faire, puis nos choix coulent de cette source. Certes le troc dans ce monde est matérialisé et permis par l'argent il est un outil nécessaire. Par contre notre foi dans la vie , notre confiance en nous, notre volonté de liberté, nous pouvons vivre AVEC ou, comme les banques et assurance le désire SANS. Liberté est antinomique de sécurité. La liberté c'est aussi les ronces, le risque, accepter l'inconnu et le chemin de vie que notre âme / conscience / évolution a à réaliser en cette vie. Celui qui veut la sécurité et la liberté perdra les 2. Et c'est là où nous en sommes dans cette société, à la fois esclave des banques et abandonner par l'état providence. J'invite tout le monde à bien y réfléchir.